Couverture médiatique d'HEC Paris dans la presse francophone
Télérama revient sur le documentaire de Camille Poulain et Jules Giraudat consacré à trois transfuges de classe admis à HEC Paris : Isabelle, Victor et Tom. Suivis durant leur première année, ils peinent à s’intégrer dans leur nouvel environnement. Le film met en lumière leur fracture sociale, entre leur milieu d’origine et la « communauté HEC ».
La Tribune se penche sur le succès mais aussi les critiques contre les fonds de continuation du private equity en raison de leur manque de transparence. Oliver Gottschalg, professeur à HEC Paris, alerte sur les conflits d’intérêts liés à ces montages, où certains investisseurs demandent désormais aux gérants de réinvestir leur bonus pour garantir un meilleur alignement.
Le Monde revient sur le documentaire « HEC, admis sans les codes » diffusé sur Arte et qui suit trois étudiants issus de milieux populaires lors de leur première année à HEC Paris. Le film met en lumière la difficulté à s’adapter aux codes implicites de l’élite, malgré des progrès en matière de diversité sociale (18 % de boursiers en 2023 contre 5 % en 2009).
Invité sur la Matinale de TF1, l'expert climatique, co-auteur du GIEC et professeur à HEC Paris François Gemenne alerte sur le fait que les événements climatiques extrêmes deviennent la norme. L’été 2025 est déjà marqué par des vagues de chaleur, des orages violents et un incendie historique dans l’Aude. Selon lui, “ce sera pareil l’été prochain, et celui d’après”. Les canicules s’intensifient, s’allongent, et risquent de perturber durablement les écosystèmes — notamment en Méditerranée — tout en affectant la productivité et la stabilité sociale.
Selon le dernier baromètre HEC Paris–Viavoice dont L’Express relaie les résultats, 47 % des actifs ont déjà utilisé l’IA au travail, mais seulement 21 % l’ont signalé à leur hiérarchie. Antonin Bergeaud, professeur à HEC Paris, y voit un usage croissant mais dissimulé, révélateur du flou qui entoure encore l’intégration de l’IA en entreprise. Il souligne que l’IA transforme les tâches, notamment celles des jeunes, et appelle à une stratégie claire pour accompagner cette mutation.
Interviewée sur les memes stocks (des actions qui s’envolent sous l’effet d’un engouement viral sur les réseaux sociaux), la professeure de à HEC Paris Anastasia Buyalskaya explique que ces envolées soudaines échappent à toute logique financière classique et s’appuient sur des dynamiques sociales en ligne où le storytelling l’emporte sur les fondamentaux. Elle anticipe une possible contagion du phénomène à l’Europe, à mesure que les frais de courtage baissent et que de jeunes investisseurs technophiles gagnent en influence.
Challenges alerte sur l’intensification de la guerre culturelle mondiale, où les industries culturelles (cinéma, musique, jeux vidéo, design...) deviennent des leviers d’influence stratégique. Malgré ses atouts (langue, héritage artisanal, rayonnement créatif), la France souffre d’un manque de structuration et d’une tension entre affirmation artistique et conquête de marché. Thomas Paris, professeur à HEC Paris, souligne en effet que les créateurs français assument rarement leur logique business, rendant l’arbitrage entre audace créative et approche mainstream difficile.
Challenges décrypte la stratégie de Ferrari, qui cultive l’exclusivité en réservant ses modèles les plus rares à ses clients les plus fidèles. Interrogée, Gachoucha Kretz, professeure de marketing à HEC Paris, compare ce positionnement à celui d’Hermès : rareté, héritage et marketing élitiste alimentent le désir et justifient les prix.
Dans une tribune publiée dans Le Monde, le professeur à HEC Paris Antonin Bergeaud et son confrère Simon Ray alertent sur les effets délétères du retour du protectionnisme. Si les hausses de droits de douane semblent avoir peu d’impact à court terme, elles freinent l’innovation, la productivité et affaiblissent les chaînes de valeur mondiales. Selon les deux économistes, elles réduisent aussi les incitations à investir dans la formation, la R&D et la modernisation, au détriment des grands objectifs économiques des États.
Challenges rapporte que Jean-Victor Meyers est nommé vice-président du conseil d’administration de L’Oréal, renforçant son rôle dans la gouvernance familiale. Philippe Pelé-Clamour, professeur à HEC Paris, souligne qu’il s’agit d’une montée en puissance longuement préparée, dans un cadre familial cohérent et structuré.