Pour Jessy Simonini, doctorant à l’Université de Nantes et Matteo Winkler, professeur associé de droit et fiscalité à HEC Paris, #MeToo, avec ou sans l’empreinte LGBT+, permet de libérer la parole souvent étouffée, de bannir la culpabilité autour des agressions subies et de reconfigurer le discours sur les comportements sexuels.